Manipulation de l'information et désinformation

Retrouvez les replays du colloque annuel de la Fondation Descartes dédié à « l’information et désinformation en temps de conflits » qui s’est tenu le 26 novembre 2024.

La Revue des médias de l’INA a étudié la médiatisation de l’opérations d’influence informationnelle étrangère dite « étoiles de David » et celles des « mains rouges », en s’appuyant sur 15 médias audiovisuels, entre 2023 et 2024.

L’Institut des systèmes complexes (CNRS) a publié une étude en 2023 du Climatoscope. À partir de l'étude de millions de tweets, cette étude permet d’apporter une meilleure compréhension de la circulation des narratifs, en particulier de ceux relevant de la désinformation.

EDMO, l’observatoire européen des médias numériques est un projet européen dont les missions sont d’identifier la dimension internationale des mécanismes de désinformation et de partager des outils et solutions pour une information fiable.

De Facto est le premier espace indépendant où des chercheurs, des journalistes et des professionnels de l’éducation aux médias et à l’information s’unissent pour lutter contre les désordres informationnels. La finalité de ce site est de promouvoir la qualité de l’information, la diversité du débat public et la régulation des plateformes numériques.

Véritable arme de déstabilisation, la désinformation s’immisce dans nos démocraties, altère les opinions et bouscule les équilibres géopolitiques. Quel est l’état de la menace et comment la France se protège-t-elle ?

Viginum vient de rendre public un rapport sur le mode opératoire informationnel russe Storm-1516, actif depuis août 2023 et qui a pour objectif de remettre en cause l’intégrité d’un scrutin et de dénigrer ou soutenir un candidat en fonction des intérêts russes.

VIGINUM publie avec des partenaires internationaux, un rapport consacré aux "enjeux systémiques" de l’intelligence artificielle dans la lutte contre les manipulations de l'information

Viginum étudie les manipulations ayant visé l’élection présidentielle roumaine de 2024, notamment la promotion artificielle de contenus et l’instrumentalisation d’influenceurs.

Ce rapport a pour objectif d’identifier les ‘bonnes pratiques’ qui existent au sein des quatre partenaires européens (Bulgarie, France, Grèce, Italie) sur le thème de la désinformation genrée en ligne en tant que menace pour la création d'environnements inclusifs sur les plateformes de médias sociaux.