Les documents cadres pour la mise en oeuvre de l'EMI
Textes officiels et vademecum EMI (source Éduscol)

Il permet de :
- s’approprier les enjeux de l’EMI dans le cadre scolaire ;
- repérer comment les enseignements peuvent se nourrir de l’EMI et comment l’EMI peut s’enrichir des enseignements ;
- s’engager dans l’EMI selon plusieurs entrées, disciplinaires ou interdisciplinaires, et selon diverses modalités, dans le cadre des enseignements ou d’actions éducatives, en autonomie ou en partenariat, en mode projet.



Les ressources du CLEMI national


- La fabrique de l'info
- Evaluer l'information
- Analyser les images d'actualité
- La liberté d'expression et ses limites
- Différencier information et publicité
A cela s'ajoute une série de fiches-guides pour publier de l'information, notamment par le biais de médias scolaires.

La page suivante permet de télécharger les brochures des années précédentes


Boîte à idées - Propositions d'EPI :
- Des médias pour dénoncer les travers de la société
- Un événement, des informations
- A la découverte d'un média numérique et de l'écriture journalistique
- Sondages dans les médias : interpréter et comprendre
- Vulgarisation scientifique : de l'expérience à l'article
- De l'enrichissement à la création d'un article : contribuer à Wikipedia
- Médias étrangers : histoire, économie et langage
Rapports, travaux de recherche et travaux académiques mutualisés

Former les enseignants à l'EMI

médias et à l’information des enseignants et
formateurs/formatrices CLEMI. Expert dans la formation en Éducation aux médias et à l’information, le CLEMI a initié un travail expérimental d’identification et d’analyse des compétences des enseignants et formateurs/formatrices de toutes disciplines, du 1er et du 2nd degré.

La communauté scientifique s’accorde sur les dangers que représentent une surexposition
aux écrans. Cette surexposition aux écrans bien qu’encore trop peu investiguée, est corrélée à une diminution de l’activité physique, trop souvent à une exposition précoce aux contenus violents et à caractère pornographique et, lorsqu’ils sont mal utilisés, à des troubles relationnels.
Il est impératif de mieux connaître ces dangers, de les prévenir et en définitive d’y remédier, sans renier le potentiel éducatif et ludique des outils numériques. Si le « pas d’écrans avant 3 ans » doit rester le mot d’ordre, la promotion d’un usage raisonné et raisonnable des écrans pour les enfants et adolescents constitue la ligne directrice de ce plan d’actions.
Un usage raisonné des écrans est possible, mais il n’est pas inné. Il doit s’accompagner
d’une révolution des pratiques par une sensibilisation des enfants à ce sujet afin de les responsabiliser, un accompagnement des parents qui sont souvent dépourvus face à cette problématique qu’ils maitrisent parfois mal et un soutien des professionnels au contact des enfants.